‘Aleku’ est basé sur une croyance au Bénoué, la ceinture du milieu du Nigeria, où les femmes subissent des rituels en tant que moyen de purification des péchés qu’elles n’ont pour la plupart pas commis. Ce projet ouvre également la voie à la question de la déshumanisation culturelle et des pratiques culturelles honteuses qui existent sous forme de rituels autour des femmes. En conclusion, Aleku dégage une sensation de performance rituelle à la fois énergique (mouvements de danse) et porte une profondeur spirituelle. Cette œuvre est conçue avec un fort attrait culturel et une esthétique locale élevée.