Un récit épique de l’ancienne Arabie où s’entremêlent théâtre, conte, danse et musique. Un spectacle pluridisciplinaire, tout public, bilingue arabe et français, qui réunit en effet une conteuse marocaine, un musicien marocain de musique gnawa, un danseur burkinabé, un éclairagiste franco- algérien et un metteur en scène de théâtre français né à Abidjan. Métissage culturel, métissage artistique. “Au Souk Okaz, grande foire d’échanges commerciaux et culturels, c’était l’effervescence. Un prénom avait fondu l’air : Antar ! Entre stupeurs et consternations, le jury venait d’élire le meilleur poète d’Arabie pour cette édition. Le poète allait être honoré, porté aux nues. Mais ce qui divisait le public, c’était surtout sa couleur : Antar était noir !”